Temps de lecture estimé : 4 minuti
Selon le rapport, les plateformes qui ne parviennent pas à lutter de manière adéquate contre la désinformation ou les deepfakes basés sur l’IA pourraient se voir infliger des amendes pouvant atteindre 6 % de leurs revenus mondiaux.
Alors que les élections européennes doivent avoir lieu en juin, les hauts responsables de l’UE sont particulièrement préoccupés par les attaques potentiellement déstabilisatrices des agents russes.
Pendant les périodes électorales, les plateformes de médias sociaux et les moteurs de recherche devraient mettre en place des équipes dédiées pour examiner les risques de désinformation en ligne dans 23 langues différentes à travers le bloc, selon le FT.
Selon le rapport, ils devront démontrer qu'ils travaillent en étroite collaboration avec les agents de cybersécurité des 27 États membres de l'UE.
Les deepfakes sont de faux contenus audiovisuels pour le web, générés par intelligence artificielle (IA). À partir de photos, vidéos et audio réels, l’IA modifie ou recrée de manière réaliste les caractéristiques et les mouvements d’un visage ou d’un corps, en imitant fidèlement sa voix12.
Voici quelques informations clés sur les Deepfakes :
L'Union européenne a introduit de nouvelles règles pour les Big Tech afin de garantir une plus grande concurrence et d'empêcher les pratiques monopolistiques. Ces règles sont contenues dans la loi sur les services numériques (DSA), entrée en vigueur le 1er novembre 2022.
BlogInnovazione.it
Une opération d'ophtalmoplastie à l'aide de la visionneuse commerciale Apple Vision Pro a été réalisée à la polyclinique de Catane…
Développer la motricité fine grâce au coloriage prépare les enfants à des compétences plus complexes comme l’écriture. Colorier…
Le secteur naval est une véritable puissance économique mondiale, qui a navigué vers un marché de 150 milliards...
Lundi dernier, le Financial Times a annoncé un accord avec OpenAI. FT autorise son journalisme de classe mondiale…